Comment réagir face aux douleurs de l’épreuve ?
Publié : jeu. sept. 04, 2008 5:44 pm
Vaste sujet qui peut, je vous l’accorde, semer la zizanie en société ! Certains vont agir en l’acceptant d’autre en la réfutant.
Ce qui suit ne sera que mon point de vue, de part mon expérience. Celle que la Vie m’accorde !
Qu’est-ce que l’épreuve ?
Du côté spirituel, c’est l’essence du moteur. En d’autres termes, c’est une des choses ce qui nous permet d’évoluer ; de progresser afin d’atteindre l’ultime lâcher prise que beaucoup recherche sans en comprendre le fonctionnement. Que ce soit dans la perte d’un être cher ou tout simplement dans la prise de décision au quotidien.
Pendant bien des années se fameux lacher prise m’a hanté. Bien des fois, j’ai cru que je savais ce qu’il était. En fait, loin de là ! Je l’ai goûter mais la peur me tiraillait de nouveau.
Qu’est-ce que le lâcher prise…
Comme son nom l’indique c’est ne plus se retenir mais faire confiance en la « Vie. »
Lors d’une prise décision nous ne savons que faire. Certain individu vont aller consulter un medium ou cartomancien, pensant, à tord d’ailleurs, que lui seul détient la Vérité. Nombreux de mes consultants pensent cela. Mais je leur dis que seul leur avenir leur appartient et qu’il doivent en être leur principal acteur. En somme, que les décisions doivent émaner de leur pensées et non d’autrui. Et dans une pointe d’humour qu’il ne faut pas confondre devin et Divin :O)
J’ai envie de dire qu’il est normal de douter de soit et d’en déclencher des peurs. Je pense que ces dernières justement sont là pour nous apprendre à nous détendre face à l’adversité.
Oh très égoïstement on croit, on dit même, que nous sommes toujours seuls face à l’épreuve et que personne ne peut comprendre ou même nous aider. C’est normal, ne pas s’en inquiéter. Mais en prenant du recul, en écoutant l’autre, ou avant tout, même en le regardant, on peut déceler en lui une aide précieuse. Il n’en demeure pas moins que c’est à nous de faire le travail.
Comment gérer nos peurs et ainsi ne plus douter ?
En prenant du recul…ha encore lui ! Comment le prendre ? En lâchant prise ! Oh lala ça se corse. Pour une réponse c’est une réponse.
Il est fondamental de se regarder dans une glace et surtout de regarder nos problèmes en face. Prenons un exemple concret :
Madame X est malheureuse . Elle ne comprend pas et accuse son compagnon de l’avoir fait souffrir en la quittant. Aussi ,qu’elle lui souhaite de ne jamais être heureux. Elle se complaint donc dans un discourt du « je ne serais jamais heureuse »
Malgré vaines tentatives madame X ne trouve toujours pas chaussures a son pied . Et n’a plus d’amis. Tous ont fuis.
Premier point négatif :
Elle est malheureuse. Normal elle vient d’avoir l’épreuve de l’abandon et de la vie solitaire.
Deuxième point négatif :
Elle accuse de son compagnon de l’avoir fait souffrir
Troisième point négatif :
Elle souhaite qu’il ne soit jamais heureux
Quatrième point :
Elle ne sera jamais heureuse
Et enfin dernier point :
Tous la quitte.
En examinant cela de face et en prenant ses responsabilité, madame X aurait pu vivre cela différemment après la douleur qu’elle a éprouvé. Voici donc le texte remis en appliquant le recul suivi du lacher prise :
« Madame X est malheureuse . Elle ne comprend pas et accuse son compagnon de l’avoir fait souffrir en la quittant. Aussi ,qu’elle lui souhaite de ne jamais être heureux. Elle se complaint donc dans un discourt du « je ne serais jamais heureuse »
Malgré vaines tentatives madame X ne trouve toujours pas chaussures a son pied . Et n’a plus d’amis. Tous ont fuis. »
Madame X est malheureuse. Elle ne comprend pas et accuse son compagnon de l’avoir fait souffrir en la quittant. Elle essaie de se rappeler ce qui a pu dans leur union les faire en arriver là. Elle se demande si son compagnon ne souffre pas autant qu’elle. Malgré sa souffrance qui l’a meurtri au plus profond d’elle, madame X souhaite que son ami soit heureux car elle comprend que son essors avec elle n’en plus.
Bien sûr elle se plaint de souffrir mais espère qu plus profond d’elle-même pouvoir être à nouveau heureuse dans sa vie. Elle y pense souvent et décide d’accepter sa souffrance. Également, de faire confiance en ce que la vie lui a réservé et lui réserve.
Elle se force, au départ à sortir avec ses amis. Ceux qui tout au long de sa douleur ont été là pour l’aider. Certains furent absents ne sachant comment faire pour l’aider. Et bien même ceux là, elle aime toujours autant.
La solitude n’est pas son fort mais en fin de compte, madame X se rend compte que cela lui permet de regarder au fond d’elle-même. Elle comprend qu’elle vit cette épreuve sereinement malgré sa souffrance. Et sait également que le hasard n’existe pas. Que cette séparation devait être présente dans sa vie. Dans plusieurs années elle comprendra encore mieux. Elle laisse le temps au temps :O)
Bien sûr l’exemple est simpliste mais je suis convaincue que beaucoup se retrouveront en ce texte. Il est bien évident qu’à la perte d’un être cher, le cheminement est bien plus complexe. Le mot clé dans ce cas est acceptation. Peut être que cela à suivre dans un autre texte.
Bien fraternellement
Marie-Eve
Ce qui suit ne sera que mon point de vue, de part mon expérience. Celle que la Vie m’accorde !
Qu’est-ce que l’épreuve ?
Du côté spirituel, c’est l’essence du moteur. En d’autres termes, c’est une des choses ce qui nous permet d’évoluer ; de progresser afin d’atteindre l’ultime lâcher prise que beaucoup recherche sans en comprendre le fonctionnement. Que ce soit dans la perte d’un être cher ou tout simplement dans la prise de décision au quotidien.
Pendant bien des années se fameux lacher prise m’a hanté. Bien des fois, j’ai cru que je savais ce qu’il était. En fait, loin de là ! Je l’ai goûter mais la peur me tiraillait de nouveau.
Qu’est-ce que le lâcher prise…
Comme son nom l’indique c’est ne plus se retenir mais faire confiance en la « Vie. »
Lors d’une prise décision nous ne savons que faire. Certain individu vont aller consulter un medium ou cartomancien, pensant, à tord d’ailleurs, que lui seul détient la Vérité. Nombreux de mes consultants pensent cela. Mais je leur dis que seul leur avenir leur appartient et qu’il doivent en être leur principal acteur. En somme, que les décisions doivent émaner de leur pensées et non d’autrui. Et dans une pointe d’humour qu’il ne faut pas confondre devin et Divin :O)
J’ai envie de dire qu’il est normal de douter de soit et d’en déclencher des peurs. Je pense que ces dernières justement sont là pour nous apprendre à nous détendre face à l’adversité.
Oh très égoïstement on croit, on dit même, que nous sommes toujours seuls face à l’épreuve et que personne ne peut comprendre ou même nous aider. C’est normal, ne pas s’en inquiéter. Mais en prenant du recul, en écoutant l’autre, ou avant tout, même en le regardant, on peut déceler en lui une aide précieuse. Il n’en demeure pas moins que c’est à nous de faire le travail.
Comment gérer nos peurs et ainsi ne plus douter ?
En prenant du recul…ha encore lui ! Comment le prendre ? En lâchant prise ! Oh lala ça se corse. Pour une réponse c’est une réponse.
Il est fondamental de se regarder dans une glace et surtout de regarder nos problèmes en face. Prenons un exemple concret :
Madame X est malheureuse . Elle ne comprend pas et accuse son compagnon de l’avoir fait souffrir en la quittant. Aussi ,qu’elle lui souhaite de ne jamais être heureux. Elle se complaint donc dans un discourt du « je ne serais jamais heureuse »
Malgré vaines tentatives madame X ne trouve toujours pas chaussures a son pied . Et n’a plus d’amis. Tous ont fuis.
Premier point négatif :
Elle est malheureuse. Normal elle vient d’avoir l’épreuve de l’abandon et de la vie solitaire.
Deuxième point négatif :
Elle accuse de son compagnon de l’avoir fait souffrir
Troisième point négatif :
Elle souhaite qu’il ne soit jamais heureux
Quatrième point :
Elle ne sera jamais heureuse
Et enfin dernier point :
Tous la quitte.
En examinant cela de face et en prenant ses responsabilité, madame X aurait pu vivre cela différemment après la douleur qu’elle a éprouvé. Voici donc le texte remis en appliquant le recul suivi du lacher prise :
« Madame X est malheureuse . Elle ne comprend pas et accuse son compagnon de l’avoir fait souffrir en la quittant. Aussi ,qu’elle lui souhaite de ne jamais être heureux. Elle se complaint donc dans un discourt du « je ne serais jamais heureuse »
Malgré vaines tentatives madame X ne trouve toujours pas chaussures a son pied . Et n’a plus d’amis. Tous ont fuis. »
Madame X est malheureuse. Elle ne comprend pas et accuse son compagnon de l’avoir fait souffrir en la quittant. Elle essaie de se rappeler ce qui a pu dans leur union les faire en arriver là. Elle se demande si son compagnon ne souffre pas autant qu’elle. Malgré sa souffrance qui l’a meurtri au plus profond d’elle, madame X souhaite que son ami soit heureux car elle comprend que son essors avec elle n’en plus.
Bien sûr elle se plaint de souffrir mais espère qu plus profond d’elle-même pouvoir être à nouveau heureuse dans sa vie. Elle y pense souvent et décide d’accepter sa souffrance. Également, de faire confiance en ce que la vie lui a réservé et lui réserve.
Elle se force, au départ à sortir avec ses amis. Ceux qui tout au long de sa douleur ont été là pour l’aider. Certains furent absents ne sachant comment faire pour l’aider. Et bien même ceux là, elle aime toujours autant.
La solitude n’est pas son fort mais en fin de compte, madame X se rend compte que cela lui permet de regarder au fond d’elle-même. Elle comprend qu’elle vit cette épreuve sereinement malgré sa souffrance. Et sait également que le hasard n’existe pas. Que cette séparation devait être présente dans sa vie. Dans plusieurs années elle comprendra encore mieux. Elle laisse le temps au temps :O)
Bien sûr l’exemple est simpliste mais je suis convaincue que beaucoup se retrouveront en ce texte. Il est bien évident qu’à la perte d’un être cher, le cheminement est bien plus complexe. Le mot clé dans ce cas est acceptation. Peut être que cela à suivre dans un autre texte.
Bien fraternellement
Marie-Eve