Mon ami Guy, que j'ai connu à travers son forum, m'enseigne beaucoup à travers sa souffrance. Il laisse le Divin en lui décider son avenir.
Il nous dit souvent qu'il ressens la Paix et la lumière au niveau du plexus solaire quand il souffre beaucoup.
Je lui ai répondu que moi aussi je ressens au niveau du plexus la lumière quand je suis relié au divin, que ce soit à travers mes méditations/prières ou à travers l'épreuve comme la maladie.
Guy a reçu ce message de son Guide :
l'indépendance n'est pas dans le geste, mais dans l'esprit, le reste n'est que matériel
Ma réponse à Guy ;
Moi aussi Guy quand je suis dans la douleur je ressens la lumière au niveau du plexus et de l'aura.
Quand on souffre on est comme 'coupé' de tout désir concernant la matière, on ne pense qu'à se blottir à l'intérieur de nous et de se relier au monde divin (souvent sans le savoir avec un élan du coeur).
On fait en quelque sorte ce que certains anciens sages disent, naturellement.
Après mon opération, le 19 octobrbe, j'ai souffert beaucoup au point de marcher plié en deux pendant deux semaines. Couché mon arhrose me faisait souffrir au dos car si je dors plus de 6 heures j'ai de la douleur.
Entre deux douleurs je choisissais la moindre ... je restais couché ... de toute façon j'étais trop faible pour rester longtemps debout. Je me suis mis plein de coussins pour dormir presqu'assied. Je ne pouvais me coucher les cotés, cela faisait étirer l'incision qu'ils ont fait. Je mettais un coussin sous mon genou dans le lit.
Pendant ces deux semaines je me suis senti beaucoup plus près du divin ressentant la lumière au niveau du plexus. Le plexus était au neutre, dans le détachement, la lumière du divin pouvant en ressortir pure comme elle nous arrive du haut. Sans être teinté par les désirs, pensées, sentiments humains, ce que nous appelons l'égo.
J'ai donc pris ma maladie comme une opportunité de me sentir plus profondément relié.
En ce moment je lis le livre "dis-moi où tu as mal, je te dirais pourquoi" de Michel Odoul.
Cet ouvrage est extrêmement intéressant tant il revête des explications claires dont la plupart m'interpelle beaucoup.
Notre corps s'exprime mais il ne nous est pas toujours facile de l'entendre et de le comprendre.
La plupart des symptômes que nous ressentons soudainement en notre corps sont le signe qu'à l'intérieur de nous existent des tensions profondes.
La maladie y est présentée comme étant un indicateur de la nécessité de changement.
"J'ai donc pris ma maladie comme une opportunité de me sentir plus profondément relié. "
Souvent, dans le rythme soutenu que beaucoup d'entre-nous connaissent aujourd'hui, nous ne nous mettons pas sufisamment à l'écoute de notre corps qui pourtant, tant que tout se passe bien, nous permet de faire énormément de chose. C'est un sacré véhicule quand on y pense ! Et, bien moins polluant que les voitures ou autre moyen de locomotion.
Puis un jour, le corps parvient à se fait entendre, c'est alors douloureux physiquement....
Quand on se trouve au coeur même de la douleur, certains essaient alors d'écouter ce qui se passe en eux pour mieux comprendre ce qui ne va pas. Et c'est souvent à travers cette même douleur qu'ils vont véritablement avancer dans la compréhension des maux qui se manifestent à eux...
Merci pour tes mots Daniel.
RNath.
"On ne peut rien enseigner à autrui. On ne peut que l'aider à le découvrir lui-même."
Mon père a eu la même opération vers mon âge et je crois que c'était héréditaire. Pour moi l'héridité est l'héritage du karma familial ... des gènes familiaux.
Mais tu as bien raison Nathalie. J'avais cette habitude de manger pour manger, mon travail est exigeant physiquement et je me suis aperçu que je manquais de nourriture protéïnée Ce qui fait que je mangeais souvent pour essayer d'aller chercher les protéïnes manquantes et je ne mangeais pas toujours bien ...
Je tente présentement de régulariser ma nourriture et je me sens tellement mieux que je me demande comment je faisais pour prendre autant de sucre.
