Et toi, qui es-tu?(1)

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celeste1964
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Et toi, qui es-tu?(1)

Message par celeste1964 »


:bird2: kikoo tt le monde :bird2:

j'ai trouvé ces textes sur le blog d'Anne-Lise
je les ai trouvés trés interessant, donc je vous en fait profiter
ils sont un peu long certes mais trés enrichissants :)
merci à Anne-Lise et son ami de leur partage :pens:
bonne lecture :brav2:

Et toi, qui es-tu?(1)... :-)


Ce que j’écris ci-dessous, a été fait en 1986 environ. Ce sont des réflexions et des moments où cela ne faisait pas partie de moi, mais venait de l’autre rive.
Je vous souhaite à tous, bonne lecture.

Un beau matin, tu ne comprends plus ce qui t’arrive. Tu te réveilles et tout est noir. Tu es dans un monde que tu ne connais pas. Tu as l’impression d’être mille mètres sous terre seule, parmi cette immense masse de terre et de roches. Tu as l’impression de peser une tonne, tu sens ton corps s’écraser sur le sol, comme si la pesanteur terrestre avait triplé.
Un poids incroyable au-dessus de ta tête qui, sans te toucher, te pèse sur les épaules. C’est le noir total. Tu ne sais pas ce qu’il y a devant, ni ce qui est sous tes pieds. Tu écartes tes bras pour sentir les parois, mais ceux-ci ne sentent que le vide. Pourtant, tu sais que tu te trouves dans une galerie. Tu ne là vois pas, tu ne là sens pas, mais tu sais qu’elle existe. Tes yeux ne voient pas, tes mains ne sentent pas et tes pieds reposent sur un sol dont tu ne connais pas la consistance.
Où es-tu ?
Que fais-tu là ?
Pourquoi cette impression d’inconnu ?
Des questions qui pour l’instant te laissent sans réponse.
Tu ne sens aucune vie autour de toi. Ni humaine, ni animale, ni végétale. Tel un aveugle à qui on lâche la main, une crainte intense t’envahit ; l’inconnu. Toutes les lois que tu connais, loi sur la vie, loi de la nature, loi de la société, loi de l’homme, loi de la logique et du bon sens, sont abolies à l’endroit où tu te trouves.
Personne ne te donnera l’explication de ta présence en ce lieu. Personne ne te dira où tu te trouves, où tu dois aller, ni ce que tu dois faire. Tu devras prendre seul la décision.
L’initiative et la responsabilité de ce que tu feras, ne seront critiquées que par toi.
La crainte de l’inconnu, peut avoir plusieurs répercutions sur toi. La peur va te donner à choisir entre quatre possibilités.
La première solution est d’avancer. Ton ventre se nouera, tes jambes trembleront, mais tu avanceras. La curiosité de savoir où tu te trouves sera plus forte que la peur. Tu ne connais pas la distance à parcourir, mais tu avances d’un pas hésitant. Poussé par le désir de connaître, ton pas deviendra plus sûr et plus ferme.
Sans savoir où tu te trouves ni vers où tu vas, tu seras de plus en plus confiant. Tel un automate, tu marcheras. Ton cerveau sera vide, sauf cette petite lueur d’atteindre le bout de cette galerie.
La deuxième solution est que tu restes sur place et que tu attendes.
Attendre quoi ou qui ? Tu ne le sais pas. Tu vas peut-être attendre que l’on t’explique ce que tu fais là !
Personne ne peut te l’expliquer, tu dois seul le découvrir. Tu attendras peut-être une main secourable, une main qui te guidera ? Inutile, personne ne passera. Tu devras prendre pour la première fois de ta vie, une responsabilité. Ta responsabilité. Rien que ce mot te paralyse. Tu repousseras cette idée jusqu’au plus profond de toi.
Là où tu es, le temps n’existe plus. Une minute est un siècle et un siècle une minute.
Surtout, ne change pas le court de ta vie. Reste là, bien sage à attendre !
La troisième solution, est que tu regardes devant toi. Ne voyant rien, tu te retournes et ne voyant toujours rien, tu avances. Tu es pourtant dans la bonne direction, et tu préfères te retourner et reculer ! Tu refuses de savoir ce qu’il y a au bout de cette galerie et tu recules.
Pourquoi ?
De quoi as-tu peur, puisque tu ne vois rien ?
Tu ne peux pas me le dire, vu que tu ne connais pas toi-même la réponse.
La quatrième solution, est que tu attendes que quelqu’un passe pour te prendre la main. Tu ne peux ni avancer, ni rester sur place. Tu veux qu’une tierce personne prenne la décision à ta place. Et dans l’inconnu que tu es, tu là suivras aveuglément en te persuadant que c’est elle qui détient la véritable solution. Celle-ci peut se tromper, mais tu là suivras tout de même.
En attendant, tu es patient, tu ne te poses aucune question et tu attends le passage de ton sauveur. Cette personne t’entraînant, se sentira forte, car elle t’aura pris la main. Toi qui croyais te sentir fort en t’appuyant sur une personne sûre ! Tu rejettes la responsabilité de ta décision sur une tierce personne. Et celle-ci, ayant sa responsabilité sur le chemin qu’elle a décidé d’emprunter, plus ta responsabilité qui devient la sienne, se trouve une raison de plus pour étayer et renforcer son initiative.
Cette personne se complique bien la vie, pour une décision normalement simple !
Te voilà maintenant avec quatre possibilités. A toi de choisir la tienne !
Fais déjà le premier pas vers ta décision. Tu as eu l’habitude jusqu’à présent de prendre des décisions par rapport à un savoir, à une science, par rapport à ton voisinage, à la société, par rapport à ce qui t’entoure, la nature, le temps ou tout autre point de repère. Mais ici, plus rien de tout ceci n’existe. Ni le ciel, ni la terre, ni fleurs, ni arbres, ni jours, ni nuit, plus de gens, plus d’animaux, le néant.
Tu sais que tu te trouves dans une galerie, mais tu ne peux expliquer le faite que tu le saches. Cette galerie ne t’es pas inconnue, mais tu n’arrives pas, même en fouillant le plus loin possible dans tes souvenirs, à te rappeler d’elle.
Devant ce vide absolu, la crainte sera peut-être la plus forte. Alors, tu décideras de te retourner et de reculer. Comme tu là toujours fais, tu préféreras fuir un savoir futur pour te réfugier dans un savoir passé.
Tu préfères ce que tu as eu, ce que tu as, à ce que tu pourrais avoir !
Pourquoi ?
Tu as les pieds dans cette galerie, tu te renfermes et tu te caches.
Pourquoi as-tu peur de toi ?
Pourquoi as-tu peur de l’avenir pour te réfugier dans le passé ?
L’avenir fait pourtant partie du passé et le passé de l’avenir ! Pourquoi crains-tu un événement à venir, alors que celui du passé te fait sourire ? Pourquoi ne ris-tu pas d’un acte à venir, comme d’un acte du passé ? Est-ce la connaissance de cet événement qui te rassure ? La connaissance d’un événement futur ne fait-il pas déjà partie du passé, alors que pourtant, il ne sait pas encore produit ! Je te cite un exemple, Tu as un problème de santé. Tu vas donc voir le médecin et celui-ci t’annonce qu’il ne peut être résolu par la médecine, et qu’il faut te faire opérer. Tu prends donc un rendez-vous avec un chirurgien, et celui-ci te dit de venir dans trois jours pour passer au bloc. Ton opération qui est prévue dans plusieurs jours, fait partie de l’avenir et pourtant, l’événement se trouve déjà dans le passé étant donné que tu connais la date et l’heure à laquelle ton problème sera résolu.
Tu comprends maintenant que l’avenir peut faire partie du passé et vice versa ! Alors pourquoi prends-tu une décision positive pour un acte futur, alors que tu sais que tu souffriras ?
Pourquoi prends-tu une décision négative pour un événement futur, alors que tu ne sais même pas s'il sera heureux ou malheureux ! Est-ce la non connaissance de cette action qui te fait reculer ?
Médites sur ta conception de l’avenir, je ne suis pas là pour juger tes faits, car la décision t’appartient. Et celle-ci sera juste si elle fait partie de toi.
Tu es en ce lieu une entité ayant pris connaissance de la vérité, car tu as pris seul la décision de reculer.
Tu aurais pu choisir la solution d’attendre qu’une autre personne prenne la décision à ta place ! Je ne connais pas ton caractère, ta personnalité vraie !
Ta personnalité est peut-être engendrée par celle d’une autre ! Tu vas peut-être attendre longtemps, très longtemps qu’une personne te dise quoi faire ! Fais-tu confiance à ton voisin, ou à toi-même ? La personne qui te guidera peut se tromper. Elle peut t’entraîner vers ta perte, comme vers la victoire !
Vas-tu tout de même là suivre ? N’oublies pas que tu es une entité, donc tu n’as besoin que de toi pour décider. Tu peux prendre conseil autour de toi, mais la décision finale t’appartient. Tu as le choix de dire oui ou non, personne ne peut décider à ta place de ce que tu dois faire, une personne peut te faire part de son expérience, afin que tu apprennes par sa connaissance, mais en finalité, c’est toi qui dois faire le jugement de ce que tu veux, et non une personne extérieure.
Enfin, peut-être que tu avanceras. Alors, sans en connaître la raison, tu commenceras à mettre un pied devant l’autre. Prudemment, tu marcheras. Tes mains, ne toucheront toujours pas les parois. La consistance du sol où tes pieds reposent te sera toujours inconnue. Tu ne sais pas vers quoi tu marches, ni pendant combien de temps, d’ailleurs, tu ne te poses même pas la question. Tu as la sensation de marcher, mais tu ne sais même pas si ce sont bien tes pieds qui te portent.
Tu sens tes yeux s’écarquiller pour voir l’invisible. Cette galerie te semble interminable et pourtant, tout en marchant, tu sens un changement s’établir en toi. Le poids de tes bras ce fait de plus en plus faible au fil du temps et du trajet. Tu n’en connais plus la longueur. Tu ne sens ni tes mains, ni tes articulations. Tu te surprends même à les toucher, pour avoir la certitude qu’ils font toujours parties de ton corps. Il en sera de même pour tes jambes, tu sais que tu marches, mais tu ne sens plus le mouvement de celle-ci. Petit à petit, une métamorphose psychique s’établira en toi.
Une crainte indescriptible t’envahira, tu auras l’impression de ne plus savoir qui tu es, tu auras l’impression d’être une autre personne, mais tout en gardant ta personnalité. Savoir que tu as des membres ne te préoccupera plus, tu auras la sensation que ton corps se désagrège et tu continueras d’avancer.
Tu te sentiras aussi léger que l’air et à la fois aussi lourd que le plomb. Cette légèreté, aura prise naissance par l’oublie de ton corps. Cette lourdeur, sera produite par la naissance d’une chose que tu n’as jamais connue, tu sentiras maintenant l’énergie qui se trouve dans ton corps et ton cerveau.
Tu auras l’impression de ne plus avoir de chair, plus de muscles, plus d’os. Tu ne sentiras que ton cœur battre dans ta poitrine. Tu sentiras ton cerveau prendre du volume, l’énergie qui s’en dégagera te fera frémir. Car jusqu’à présent, tu avais eu l’habitude de sentir ta chair.
Tu ne connaissais même pas l’existence sensorielle de ton cœur, de ton cerveau et de ton énergie. Alors que maintenant, tu sens ton cœur battre dans ta poitrine, ton cerveau bouillir dans ta tête et ton énergie te parcourir jusqu’au plus profond de toi. Par contre, tu ne sens plus ton corps ni ta chair.
Lorsque tout ce qui est humain ne fera plus partie de tes souvenirs. Lorsque tu n’auras plus conscience de ton passé, de ton savoir, de ton présent, de ton avenir, de ton instruction. Lorsque tu ne sauras plus ce qu’est ton corps, ton visage, ton poids, ta taille. Lorsque tu n’auras plus le souvenir de ta famille, de ton voisinage, de la société. Lorsque tu ne seras plus qu’énergie pure, alors seulement, tu sentiras une douce chaleur venant du bout de cette galerie.
Tu ne sais par quelle force tu seras attiré vers cette chaleur, mais tu avanceras confiant.
Au bout de cette galerie, tu sentiras une immense plaine, sans fond ni plafond, sans parois, le vide total.
Tu resteras là à attendre.
Au bout d’un temps indéfinissable, tu apercevras un long chemin. Il sera sur ta droite, flottant dans le vide. Le chemin sera large, au bout de celui-ci, se trouvera une porte ouverte, offrant une douce chaleur. Une faible lumière s’en dégagera et une énergie fragile t’attirera vers cette porte.
C’est peut-être le chemin que tu prendras, car celui-ci est large et confiant !
Un autre chemin face à toi, te sera offert. Celui-ci est moins large, mais de même longueur. Il flottera également dans le vide, et la porte ouverte de celui-ci dégagera une chaleur un peu plus forte. La lumière sera plus vive, et une énergie un peu plus puissante t'attirera à elle.
C'est peut-être le chemin que tu prendras, bien que celui-ci soit plus étroit !
Enfin, le dernier chemin sera sur ta gauche. Il ne sera pas plus large que ton pied et bien plus long que les deux autres. De la porte, se dégagera une chaleur intense. La lumière sera aveuglante et une énergie toute puissante s'en dégagera et t'attirera à elle. C'est peut-être le chemin que tu prendras bien qu'il ne soit pas plus large que ton pied !
Un nouveau choix, une nouvelle épreuve te sont demandés
Entre ces trois chemins, lequel prendras-tu ?
Les portes se trouvant au bout de ces chemins, t'apporteront chaleur, lumière et énergie. Celles-ci seront peut-être pour toi, les portes de l'amour, les portes de la sérénité, les portes de la paix, les portes de la tolérance, les portes de la patience, les portes du respect ou les portes de l'humilité ?
Ne vois-tu rien de magique en ces mots ?
Amour, sérénité, paix, tolérance, patience, respect et humilité !
Je peux prendre chaque mot et les détailler un à un.
Tu vas voir comment cela peut être magique !

AMOUR
Amour des hommes, de la nature et tout ce qui vit, que tu saches aimer sans limite, sans rien attendre en retour. L’amour inconditionnel, l’amour ne formant qu’un, l’amour qui te fait pleurer de bonheur.
SERENITE
Afin que tu trouves le calme dans ton corps, dans ton cœur et dans ton esprit.
Que tu sois calme et tranquille, sans trouble avec toi-même, afin que quiconque te regarde, trouve également la paix en lui et voit sa lumière.
PAIX
Pour que tu sois exempt de toutes sortes d'agressivités, pour que la violence n'existe plus en toi et que le simple mot d'impulsivité soit banni de ta mémoire.
TOLERANCE
Pour que tu respects la liberté de ton prochain, ainsi que ses manières de pensées, quel que soit sa race, quel que soit ses opinions politiques et quel que soit sa religion. Que tu sois indulgent dans tes relations sociales et professionnelles.
PATIENCE
Afin que tu supportes sans réagir, les maux, les incommodités, les injures ou les critiques que l'on pourrait te dire ou te faire.
La patience, est l'interjection qui t'invite à ne pas t'irriter ou te lasser, afin que tu persévères sans jamais baisser les bras.
RESPECT
Afin que tu adoptes une attitude qui consiste à ne pas porter atteinte à quelque chose ou à quelqu'un, tel que ; Le respect de la vérité, le respect de l'être humain, le respect de l'humanité tout entière, le respect de tout ce qui vie afin que tu trouves le respect de toi-même.
HUMILITE
Pour que tu t'abaisses volontairement devant tes semblables, afin que ceux-ci puissent trouver leurs forces.
Contrairement à ce que l'on peut dire, celle-ci n'est pas un signe de faiblesse, mais un signe de puissance. Car il est bien plus difficile de s'abaisser devant ces semblables, que de bomber le torse !

Un être de lumière m'a fait toucher du doigt ces sept commandements, qui pour moi, sont maintenant l'essence même de ma vie.
Une fois que tu auras passé cette porte, celle que tu auras choisie, tu apprendras à te regarder dans un miroir. Ce miroir, ne reflétera pas ton image corporelle, mais reflétera ton mental. Elle te montrera l’intérieur de toi, au lieu de te montrer ton corps, elle te montrera ton âme, ton énergie. Ce miroir te montrera qui tu es réellement, une entité qui te surprendra !
Alors, tu devras entamer un combat féroce avec toi-même. Il te faudra connaître la personne que tu verras dans ce miroir. Etant donné que tu as toujours eu l’habitude de juger une personne à ce que tu vois ou entends, là, il faudra que tu te juges toi-même. A chaque jugement que tu feras, il y aura un contre puisque tu te défendras par rapport à ce jugement. Jusqu’à ce que tu ne te juges plus, mais que tu acceptes qui tu es devenu.
Être un humain de nos jours, comme depuis la nuit des temps, c’est présenté un caractère selon son entourage, tout comme toi. Un caractère, est basé en rapport au vécu et au voisinage. Tu instruis une certaine image de toi, bonne ou mauvaise, d'après ta position sociale, professionnelle, ou sentimentale ou culturelle, Tu donnes en fin de compte, une image de toi pour pouvoir être quelqu’un dans cette société. Tu classes le caractère de ton voisin en fonction de ce qu'il veut bien te montrer, ou de ce qu'on te dira de lui, et surtout, en accord avec l’image que tu as de toi-même ou des autres.
Une personne pauvre, à peu d'intérêt, ou beaucoup d’intérêt pour toi en accord avec l’éducation que tu as eu.
Peu d’intérêt car tu peux cataloguer cette personne parmi les gens peu intelligents, et ou peu fréquentables.
Pourquoi ?
Est-ce parce que tu penses que tu ne peux rien tirer de cette personne ? Qu’elle ne t’apportera rien si ce n’est des ennuies ? Que sa conversation sera aussi pauvre que son état ? Est-ce que tu auras peur que sa pauvreté soit contagieuse ? Est-ce de la culpabilité de ton état par rapport à cette personne, car ton niveau social est différent du sien et que tu te sentiras gêner ?
Son contraire, est-ce que tu peux te sentir à l’aise avec elle, car tu te sentiras important. Tu auras l’impression d’être supérieur à cette personne et, inconsciemment, ou consciemment, tu lui feras sentir. Tu lui demanderas si elle a besoin d’aide, dans un esprit que tu penses de générosité, mais en fin de compte, tu agiras de cette façon car par une bonne action, tu seras important pour cette personne, chose que tu n’arrives peut-être pas à faire avec les personnes du même niveau que toi.
Par contre, elle peut présenter de l’intérêt pour toi si cette même personne présente une apparence aisée, celle-ci te paraîtra respectable et intelligente. Tu chercheras son contact et tu seras bien. Cette personne aisée peut t’être utile, pour ton travail, pour ta vie personnelle ou pour tout autre chose.
Cette idée sur la pauvreté et l'aisance peut être péjorative pour toi ! Mais regarde autour de toi, ne connais-tu pas de personnes réagissant de la sorte! Si c'est le cas, ne te sens-tu pas le devoir moral de leurs faire prendre conscience de leurs façons de voir les choses! Qu’une personne n’est pas ce que l’on pense par rapport à son aspect physique, mais par rapport à ce qu’elle est de vrai, lire ce qu’elle a dans son âme, lire ce qu’elle a dans sa personnalité vraie. Mais pour cela, il faut apprendre à la connaître, sans jugement, sans préjugé non plus, il faut la prendre comme elle est, afin qu’elle se montre vraie, qu’elle ne craigne pas ton jugement.
Imagines toi dans un magasin. Un homme y pénètre, il est mal rasé, a des cheveux gras en bataille, montrant qu'il ne c'est pas peigné depuis plusieurs jours. Ces vêtements sont usés et sales, ces chaussures baillent et laissent entrevoir des pieds sans chaussettes. Cette personne ressemble à un homme sans domicile fixe, un homme que l’on n’ose pas aborder de peur qu’il ne nous donne des poux ou bien d’autres maladies.
Une autre personne entre à son tour dans ce magasin, on la remarque tout autant que la première, mais pour des raisons différentes. Cette deuxième personne, est très élégante. Une odeur de parfum de marque se répand dans l'atmosphère. Une chemise de soie est blousée sur un pantalon à pince. Cette personne, ressemble à quelqu'un de tout à fait respectable, car elle nous rappelle ce que nous aimerions être, ou ce que nous sommes.
A ton idée, vers qui vont ce diriger l'agent de sécurité et le vendeur en voyant ceux-ci ?
L'agent de sécurité, suivra d'un œil plus ou moins discret le client paraissant démuni, de peur qu'il ne vole tels ou tels articles.
Alors que le vendeur, emboîtera le pas de l'autre client car il est sûr qu'il est venu dans l'intention de faire quelques dépenses. C'est peut-être le contraire que ces deux employés auraient dû faire ! Ils ont établi un jugement par rapport à un contact visuel, à une normalité et un automatisme Soit ce jugement est fait par un réflexe professionnel, ou bien, il est naturel, car il est mis en avant depuis sa jeunesse et jamais contredit par ses parents ou son entourage. Ils ont fait ce que l'on demandait d'eux, sans faire appel à eux-mêmes. En fait, ils ont suivi les instructions et ont réagit par automatisme.
La moralité de cette histoire, c'est qu'il ne faut pas juger telle ou telle personne d'après son aspect extérieur, mais plutôt aller à sa rencontre, et apprendre à la connaître. Et même lorsque tu connaîtras cette personne, tu ne pourras toujours pas la juger.
Tu ne peux donc pas juger celui que tu connais. Alors raison de plus pour ne pas juger celui que tu crois connaître ou celui que tu vois pour la première fois!
La richesse de l'être humain, ne se trouve pas dans son aisance, mais dans son cœur !
Tu définis toujours un être humain en fonction de ces agissements. Une personne te plaira ou te déplaira, suivant son activité orale, morale, physique ou psychique, suivant ce que la société te réclame. Mais cette personne que tu juges, agit également en fonction de ce que la société lui demande !
Pourquoi cherches-tu une personne stéréotypée, alors que celle-ci n'existe pas ?
Tu trouveras toujours une occasion de critiquer. Tu classes ton voisin en rapport à toi-même. Mais toi-même, qui es-tu, le sais-tu ? Tu cherches à travers les autres une image de toi. Mais tu ne connais pas ta propre image, alors tu critiques. Tu te diras ; si cela avait été moi, j’aurais plutôt fait comme ceci, ou comme cela, j’aurais dit ceci ou cela. Tu te diras ; il aurait dû… ou, il faudrait qu’il… Mais tout ce que tu peux dire, tu le dis à travers toi, à travers tes connaissances, à travers tes convictions. Mais celles-ci te sont propres, elles ne s’adressent qu’à toi, tu ne peux pas, tu n’as pas le droit de penser à la place d’une autre personne. Chaque personne a son propre chemin à faire, tu n’as pas le droit de lui imposer le tien, ton chemin t’appartient, il ne concerne que toi !
La galerie dans laquelle tu te trouves, est le chemin te conduisant vers la porte qui t'aidera peut-être à mieux te connaître.
Regarde autours de toi, et dis moi ce que tu vois ;
Ne distingues-tu rien ?
Est-ce toujours le noir ?
Pourtant, il pourrait faire aussi claire qu'en plein jour ! Lorsque tu atteins cette porte, tu vois cette clarté, parce que tu commences à regarder en toi. La carapace qui recouvre tout être humain, disparaît lorsque tu passes cette porte.
Cette carapace si lourde à porter, au fil des années, t'écrase au sol. A aucun prix tu ne veux l'enlever, car à ce moment là, tu mettrais à nu ta véritable entité. Et cela, tu ne le veux pour rien au monde, et tu as beaucoup de mal à passer cette porte à cause de ce seul fait, conscient ou inconscient.
Si tu arrives à surmonter cette épreuve, tu franchiras la porte de la vérité.
Tu as peur d'ôter cette carapace ! Tu penses que sans cette couverture, tu deviendras fragile, vulnérable, influençable, accessible à toutes personnes voulant profiter de toi !
N'oublies-tu pas que tu es une entité, et que tu as ta propre volonté ?
Toi seul prends la décision d'accepter ou de refuser. La faiblesse est pour la personne qui veut bien là prendre. Je peux même te dire que la faiblesse ou la force sont en fait deux mots qui se complètent.
La faiblesse, c'est toi qui la crée, d'après ce que l'on dit ou demande de toi. L'être humain cache souvent sa "faiblesse" derrière une agressivité visible.
L'être humain dit "fort", se retranche sur un langage, un comportement protégeant son hypothétique image.
La véritable force, si l'on peut dire, se trouve dans son intelligence et celle-ci, n'a besoin d'aucune façade.
La galerie dans laquelle tu te trouvais, était la fissure de ta carapace et l'énergie derrière cette porte est le cœur de toi-même. Laisses aller doucement cette carapace qui t'étouffe ! Ce masque que tu portes est vivant, il n'a qu'un seul maître, toi. Tu lui fais changer de forme selon ton bon plaisir. En fonction de ce que l'on attend de toi.
Ce masque, au fil du temps, va se resserrer. Tu finiras par ne plus supporter le rôle que l'on te demande de jouer. Au lieu de le retirer, tu t'en forgeras un autre, plus dur encore. Plus le temps passera, plus tu entreras dans le piège que l'on te tend, pour finir prisonnier de toi-même.
Il te sera de plus en plus difficile de te sortir de ce carcan invisible. Croyant que dans ce monde une personne forte peut vivre sans problème, tu reculeras la barrière de la douleur. Tu diras aux gens qui t'entourent :"je suis gentil, mais attention, je peux être très méchant !"
De ce seul fait, bien que tu te dises calme et doux, tu te couvres derrière cette forme d'agressivité pour être intouchable. Et là, tu te sens fort auprès des autres ! Mais ceci est à double tranchant, en toi, tu deviens de plus en plus vulnérable car tu produis un déséquilibre dans ton entité.
Toujours cette façade derrière laquelle tu te caches !
N'ais aucune crainte à te montrer au grand jour, ton jardin secret se trouve dans ton âme, non dans ton vécu. Ton âme est ta véritable entité, c'est toi à l'état pur ? Ne cherche pas à te montrer différent de toi-même, soit vrai, soit franc.
Pour trouver la vérité de ton entité, il faudrait que tu remontes à tes origines. Pour parvenir à celles-ci, puise au plus profond de ta mémoire. Que tu recules les barrières du temps, année par année, heure par heure, minute par minute, seconde par seconde. Il faut que tu fasses ressurgir les moindres détails de ton passé, de ton être. Continue toujours ton ascension cherche ta plus tendre enfance, plus tu avanceras vers les souvenirs de ta jeunesse, plus tu seras vrai. Car à cette époque, le vécu n'avait pas encore atteint ton image extérieure.
Avance doucement vers l'origine de ton entité.
A ta naissance, apparemment, tu n'avais que le vécu de tes parents. Ceux-ci, en t'ayant conçu, ont incorporé leurs vécus dans ton inconscience. Tu as des agissements dans la vie, qui te vienne du vécu que tes parents t'ont transmis. Tu n'as pas conscience de cela, mais ils sont là bien présent.
C'est ce que l'on appelle "l'hérédité".
L'hérédité, n'est pas une fatalité ! C'est le caractère que t'ont donné tes parents à ta naissance, afin que tu puisses effectuer tes premiers pas dans la vie.
Regarde par exemple les animaux sauvages. Dés leur naissance ils craignent l'homme et non pas les autres animaux.
C'est une belle preuve du savoir que leurs parents offrent avant leur naissance, non ?
Le subconscient des animaux sait déjà à sa naissance que l'homme est le plus grand prédateur de tous les temps. Ils leurs instaurent dés que la vie apparaît, qu'il faut se lever pour fuir les prédateurs de toute sorte. Un chien dans la maison, avant de ce coucher, tourne en rond. Du temps où il était sauvage et vivait dans la nature, le chien faisait cela afin de coucher les herbes pour pouvoir s’allonger dessus. Une chienne qui a des petits, mange les déjections de ses petits afin de ne laisser aucune trace d’eux. Un chat recouvre aussi ses besoins, non pas par propreté, mais plutôt afin de ne laisser aucune trace de son passage. Nous même, si nous faisons des réserves de nourritures, cela nous vient des temps où nous manquions de nourritures. C'est une belle preuve que les animaux donnent, beaucoup de personnes pourraient appeler cela de l'instinct !
Maintenant, il faut que tu comprennes que tu dois développer ta propre entité, car elle est là bien présente. Tu es unique au monde ; personne ne t'égale, et tu n'égales personne. Un être humain doit être ce qu’il est, et non ce que l'on veut qu'il soit.
Pourquoi, toi que je regarde, passes-tu ton temps à te détruire, alors que tu as tout à construire ?
Pourquoi n'y a-t-il pas plus d'êtres humains derrière cette porte ?
Nous ne sommes qu'une poignée ayant connaissance de cette enceinte, alors que nous pourrions être des milliers ! Cette porte est dans le cœur et dans l’âme de tous, mais grand nombre de personnes n’en ont plus conscience.
Tu veux le bonheur, et tu ne fais rien pour l'obtenir. Tu penses toujours que le bonheur passe par le confort matériel ?
Mais qu'est-ce que le confort, une suite d'objets que tu disposes d'une façon précise dans une pièce ! Un paquet de billets rangé au fond de ton portefeuille ! Mais qu'est-ce qu'un billet, rien d'autre qu'un morceau de papier pour lequel la société te demande d'y mettre beaucoup de valeur. La richesse monétaire et matérielle, n'est qu'éphémère. Elle dure le temps que tu passes sur terre. Et pourtant, sans elle, tu dis que tu ne peux vivre.
Mais moi je te le dis, la richesse que tu entreposes ne te suivra pas dans ta vie postérieure. Seul ton entité ne te quittera pas. Développe la richesse qui sommeille en toi, recherche la perfection de ton entité, et tu obtiendras l'inestimable. Tu ne dois pas mettre toute ton importance sur le confort matériel et pécuniaire.
Certains humains disent que je suis fou. Mais moi je te demande, où démarre la folie et où démarre le bon sens !
Tu dis qu'une personne folle est une personne qui a perdu la raison. Ou dont le comportement sort de l'ordinaire. Que son esprit est dérangé et enfin, que celui-ci est anormal.
Mais à ton avis, sur quel critère te bases-tu. Où commence la raison et où finit-elle !
La raison se dit de la capacité de jugement par laquelle l'homme est capable d'organiser, de systématiser sa connaissance et sa conduite, enfin d'établir des rapports vrais avec le monde.
Dans certaines théories, c'est un système de principes qui dirige l'activité de l'esprit et forme une règle. Un modèle idéal de connaissance et d'action. C’est également la faculté pensante et son fonctionnement. Ce qui permet de connaître, juger et agir, conformément à des principes (considéré comme plus ou moins stables), mais sans préjuger la valeur de cette connaissance ou de cette action. La raison se dit également, et en conclusion, de la faculté qui permet à l'homme de distinguer le vrai du faux et le bien du mal.
Mais qu'est-ce que le vrai ou qu'est-ce que le faux ?
Peux-tu me démontrer où commence le faux et où s'arrête le vrai, peux-tu me démontrer où commence le mal et où s'arrête le bien !
En supposant bien sûr, que l'on respecte l'entité humaine !
La raison est toujours basée par rapport à une société, à ce que l'on exige de toi, pour vivre avec tes semblables. La raison est basée sur une majorité. Cette majorité est faite par le plus grand nombre de voix déterminée par un vote. Donc, je peux dire que la raison est donnée par un vote moral établi par un groupe de personne.
Alors, si tu t'écartes de cette majorité, tu deviens irraisonnable !
La folie se dit d'un manque de jugement et de bon sens. Tout ce qui n'est pas palpable, tout ce qui ne peut être vu ou senti, fait partie du fantastique, de la folie, de l'irrationnel.
Le fantastique, se dit d'une personne qui se laisse aller à ces rêveries, à sa fantaisie qui est crée par l'imagination et qui n'existe pas dans la réalité.
Alors, si tu penses que la folie démarre dans l'irréel, dans le non palpable et dans le fantastique, ou la fantasmagorie, alors c'est vrai, je suis fou. Car l'irréelle pour toi, est devenue réalité pour moi. L'impalpable pour toi, est devenu palpable pour moi et le fantastique est bien présent. La différence entre toi et moi, c'est que toi tu crois en ce que tu vois, par contre moi, je crois en ce que je sens. C'est pourquoi tu es encore dans l'ombre de toi-même et que pour moi, il fait grand jour.
Si tu crois en ce que tu vois, dis moi si tu crois en l’amour, si tu crois en la passion, si tu crois à la haine, à la colère, à l’indifférence, à la patience, et à tous les autres thermes qui définissent un sentiment. Un sentiment ne se voit pas, n’est pas palpable, et pourtant, tu y crois.
Ne juge pas une personne de folle, car elle a peut-être tout simplement une autre vision des choses que toi, elle voit peut-être quelque chose que tu ne peux voir.
Tu peux également me dire que je suis un marginal ! Mais qu'est-ce qu'un marginal ?
Tu me dis, que c'est une personne qui n'entre pas dans l'essentiel, dans l'activité principale. Que c'est qu’une personne qui vit en marge de la société !
Jésus-Christ était donc un marginal !
Martin Luther King était aussi un marginal, et beaucoup d'autres encore !
Pour toi, l'essentiel veut dire qu'il est capital de vivre dans la norme. Qu'il est important de suivre la discipline sociétaire et humanitaire ? Pour toi, vivre en marge de la société, c'est ne pas se plier à une doctrine établie depuis des siècles et qui évolue en fonction du modernisme et de ce qu'une majorité de dirigeants réclame de toi !
Depuis des années, des siècles, voire même des dizaines de siècles, des humains nous ont inculqué leurs règles, leur façon de penser et leur façon d'agir. Ceci est devenu une méthode de vie, c'est d'ailleurs une norme. Et si tu t'écartes de cette norme établie depuis des siècles, alors tu deviens un marginal.
Donc, tu peux me considérer comme un marginal. Pour moi, l'essentiel ce n'est pas de vivre dans la norme, c'est de vivre d'abord avec moi. En vivant bien avec moi, je vivrais bien avec toi, car je te respecterais pour ce que tu es, et tu me respecteras pour ce que je suis. Il n'y a pas de norme pour l'être humain, chaque cas est unique. La normalisation est la conformité à la moyenne générale, pris en fonction des réactions par rapport à ces lois.
Je te dis donc, recherche la vérité de ton entité. Respecte ton âme, cherche ta lumière et réagit avec ton prochain, comme tu aimerais qu'il réagisse avec toi.
Et toi, où te situes-tu dans cette généralité, crois-tu que la société respecte ton entité ?
Certains m'ont dit que j'étais un envoyé de Dieu !
D'autres m'ont affirmé que j'étais habité par le Diable !
Donc, cela voudrait dire que je peux avoir plusieurs facettes ?
Le voyage que j'ai fait dans l'au-delà, m'a fait prendre conscience de ce que j'étais et de ce que je serais. Dieu m'a crée libre, et m'a laissé repartir libre ! Tu essayes de me donner un qualificatif en accord avec ton propre caractère et d'après tes convictions sociales ou religieuses. Il ne te vient pas à l'idée que je puisse être moi, tout simplement ?
Pourquoi veux-tu me mettre une étiquette sur le dos ?
Pourquoi cherches-tu une faille, alors que peut-être il n'y en a pas ?
Je suis celui que je suis, et tu es celui que tu es, ne cherche pas à savoir qui je suis, mais cherche plutôt à savoir qui tu es. Nous sommes tous des enfants de Dieu et le Diable nous habite tous, Nous avons tous le bien et le mal en nous, et heureusement ! Sinon, comment savoir que nous faisons du bien si nous n’avons pas connaissance du mal ? Ou bien, comment pouvons nous savoir que nous faisons du mal si nous n’avons pas la connaissance du bien ? Nous avons toujours le libre choix, faire le bien ou le mal. Notre libre arbitre est en nous, quoi que nous fassions, nos actes auront des répercutions sur notre entourage. Soit, la lumière qui est en nous pour le bien, soit l’ombre pour le mal...
celeste1964
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Et toi, qui es-tu?(2)

Message par celeste1964 »

Et toi, qui es-tu?(2)... :-)



(Suite)

C’est à nous de juger ce que nous voulons faire, soit nous quittons ce monde de matérialisme pour opter un monde de spiritualité, soit nous restons dans ce monde de matérialisme et nous perdons l’essentiel. Le choix nous appartient, nous sommes libre de choisir.
N'oublie pas que nous sommes des entités, nous avons notre propre énergie et que deux être semblables n'existent pas. Tu peux imaginer que cette énergie est une ligne droite dans un espace, sans début ni fin. Chaque humain, a sa propre ligne ; deux êtres identiques sont impossibles. Tu peux avec beaucoup de peine ou par contre, avec une grande facilité, modifier cette ligne, pour qu'elle devienne sensiblement identique à une autre. Tu peux à ce moment là, t'accorder avec cette personne. Établir cette transformation pour trouver une compagne ou un compagnon afin de former un couple ou une amitié. Ces lignes, peuvent être presque parfaite ! Alors, c'est l'entente rêvée.
Mais bien souvent, l'une des deux personnes triche, consciemment ou inconsciemment. Ces deux personnes, vont se trouver bien ensemble. Elles vont rester un certain temps dans ce bien être, mais un jour, la personne qui a modifié sa ligne va se fatiguer. Malgré elle, elle reprendra sa propre énergie. Sa ligne redeviendra elle-même. Elle aura beau lutter, elle reprendra sa propre entité, parce qu'elle fatigue. Des changements de comportements vont alors se produire. La personne qui l'accompagne ne comprendra pas, car elle, a conservé son entité. Elle sera peut-être indulgente malgré ce changement et n'en fera pas état. Mais il est possible également qu'elle soit énervée, suivant l'importance de cette métamorphose. Alors ce sera querelles et séparation.
Je t'ai donné cette petite vision du couple, afin de te dire qu'il ne faut jamais tricher. Reste-toi.
Garde ton entité, ne cherche pas à ressembler à ton proche, car un jour ou l'autre, tu te lasseras. Et là, ce sera le désastre pour toi et pour tous ceux qui t'entourent. N'oublie jamais que tu vis en couple, car c'est la loi de la nature, mais avant tout, tu vis avec toi.
Soit vrai avec toi-même, n'essaye pas de tricher, car tu seras le seul à payer. Tu n'auras pas la conscience en paix et tout doucement, tu te détruiras, et anéantiras tous ceux qui t'entourent. Ta compagne, tes amis, ta famille et tout ton voisinage ont l'image que tu veux bien leur donner. Offre leur la pureté de ton entité, et tu seras récompensé. Tu atteindras la plénitude que moi-même ai atteinte depuis longtemps. Beaucoup d'humains t'envieront, beaucoup d'humains te craindront et beaucoup te détesteront. Ils riront et se moqueront de toi.
Comme ils doivent être malheureux ! Car ils rient et se moquent d'eux-mêmes.
Moi je te le dis, beaucoup t'envieront, mais très peu seront ceux qui viendront se joindre à toi. Car le matérialisme et la crainte d'être jugé par leurs semblables seront les plus forts. Beaucoup te craindront, ils auront peur de ce que tu leur offres. Ils n'ont jamais connu cet état de bien être et ils préféreront fuir ton regard, fuir ton contact, pour se réfugier dans la majorité.
Lorsque tu auras atteint mon niveau de connaissance, tu seras tout comme moi. Je n'éprouve jamais de colère, Il m’arrive tout de même de m’énerver, lorsque la liberté ou le respect de quelqu’un est bafoué, jamais de haine, je vous aime tous, vous qui m'estimez, et vous qui me détestez. Car tout est relatif, si vous m'estimez ou me détestez, c'est à travers vous que vous le faites ! Moi dans tous ça, je ne suis que l'instrument de vos réactions et de vos pulsions.
N'oublie jamais que c'est toi qui décides et engendre une partie du caractère de ton prochain. N'oublie pas que c'est l'esprit qui commande le corps et non l'inverse !
Pourquoi attacher plus d'importance à ton corps qu'à ton esprit ?
Il est capital pour toi d'établir un contact physique, plutôt qu'un contact psychique !
Tu entretiens ton corps non pour ton bien-être, mais pour celui des autres. Et c'est l'engrenage. Tu fais attention à ton corps, puis à ton confort, afin que quiconque pénètre chez toi, se dise que tu es propre et ordonné. Même si dans ton esprit tout est sale et désordonné.
Je parle de toi de cette façon, car au niveau où je suis allé et où je suis maintenant, grâce à mon passage dans l'autre monde, j’ai appris à connaître d’autres valeurs Je ne suis qu'esprit pour certain, fou et marginal pour d'autres. Je m'accoutume à toi, mais jamais je n'entrerais dans ton jeu. Je te considère comme un objet disposé d'une façon bien précise sur ce grand manège qu'est la société et le monde. Et moi, je te regarde tourner. Quelque fois, tu veux descendre, mais tu gardes une main bien accrochée à l'emplacement que l'on t'a fixé. Tu ne veux plus jouer, mais tu as peur de descendre. Tu ne sais pas ce qui t'attend en bas de ce manège. Pourtant, je suis là pour te tendre la main, je suis là pour te conduire à cette galerie !
La société t'étouffe comme un sable mouvant et tu te laisses faire !
Pourquoi ?
Elle réclame toujours plus de toi et tu acceptes !
Pourquoi ?
Tu as les pieds dans ce sable, le poids de ton vécu, de ton savoir et de ton avidité t'enfoncent doucement. La société, l'humanité, sans que tu le remarques, exercent une pression sur ton corps et ton esprit et peu à peu, tu t'ensevelis. Au lieu de me prendre la main, tu te laisses glisser tout doucement, sans résister.
Tu cours vers ta perte et tu ne réagis pas !
Pourquoi ?
Je te donne la main et tu là refuses !
Pourquoi ?
Pourquoi ne veux-tu jamais accepter la vérité !
Pourquoi te caches-tu derrière ta propre ombre, ne sais-tu plus qui tu es ?
Tu bases tous tes faits et gestes en accord avec diverses solutions, tel que le modernisme par exemple. Le modernisme, sert à améliorer le cadre de vie de chaque humain. Il lui facilite ces déplacements, ces conditions de travail, sa qualité de vie ; personnelle ou professionnelle. Ces déplacements sont facilités par l'invention de la voiture, qui est devenu tellement indispensable, que l'on ne conçoit plus la vie sans elle. Tous les déplacements en règle générale, sont fait en voiture. Cela te permet d'aller beaucoup plus vite d'un endroit à un autre. Il y a également comme moyen de transport l'ascenseur, le tapis roulant, l'Escalator, etc.…
Et là, beaucoup de personnes l'utilisent avec exagération. Ces moyens de transport, sont entrés dans nos mœurs, et tout doucement, font partis intégrants de notre vie. Les trois quarts des gens les utilisent sans réfléchir. C'est devenu comme instinctif. Et tu vas prétexter que de cette façon, tu vas plus vite et que tu es moins fatigué. Mais ne crois-tu pas que la fatigue vient justement de ce manque d'exercice ! Ou de ce que la société a réclamé de toi durant cette journée !
Et par automatisme ou par habitude, tu demanderas toujours à la machine de te venir en aide. Tu deviens de plus en plus fainéant, physiquement et cérébralement. L'ordinateur remplace ta mémoire et ton intelligence, la robotique remplace en partie l'usage de tes bras, et la machine se déplace pour toi.
Que te reste-t-il à faire ?
Et toi, tu me répètes toujours et encore, que tu es beaucoup trop fatigué. L'ordinateur, la robotique, l'ascenseur, l'Escalator, le tapis roulant et toutes ces belles choses qui augmentent ton rendement, sont là pour te donner une grande rapidité d'action et de déplacement.
Mais à ton idée, qui a l'action, elles ou toi !
N'as-tu jamais remarqué que tous ce que tu inventes va beaucoup trop vite pour toi ?
Tu dis que tout ceci est fait pour te donner moins de fatigue.
Alors dis-moi, pourquoi es-tu de plus en plus fatigué ?
Les machines sont de plus en plus perfectionnées. Elles demandent de toi toujours plus de rapidité. Celles-ci, ont été crée pour améliorer les conditions de vie et de travail pour chacun de nous ! Elles ont fini en fin de compte à améliorer les capitaux de leurs détenteurs oui !
Tu commences à être dépassé par le modernisme et tu refuses de l'accepter et de le croire.
Pourquoi ?
N'oublie pas que les machines, elles, ne pensent pas, elles n'ont pas de corps ! Elles émettent une énergie qui leur vient de circuit ! Alors que toi, tu émets une énergie qui te vient de la création ! Et que pour recharger tes batteries, il te faut du temps et du repos.
Crois-tu vraiment que tu puisses rivaliser ?
Crois-tu vraiment que tu puisses là maîtriser ?
Ce n'est pas que je sois contre le modernisme ! Car il a été crée pour améliorer le cadre de vie physique et morale de l'humain, mais contrôle l'emploi que tu es fait, et ne le laisse pas te diriger. Garde en mémoire que la société va te dire plus vite, toujours plus vite ! Ton activité physique aura pris une telle vitesse, que tu te retrouveras avec toutes sortes de maux tel que : dépressions, ulcères, infarctus ou bien une nervosité excessive.
Tu as peut-être du mal à dormir, tu te sens nerveux ? Ne trouvant aucune réponse à tes problèmes, tu vas voir un marchant de pilules et tu te drogues.
Au lieu de chercher la vérité de ton malaise, au lieu de réfléchir et d'établir un bilan sur ton existence et de ce que l'on réclame de toi, tu avales toutes sortes de médicaments afin de suivre le flot de la majorité. Regarde toi, plutôt que de regarder chez les autres ! Et tu trouveras ton équilibre.
Tu passes une partie de ton temps à t'ausculter. Tu cherches les petites douleurs, les petits troubles et lorsque tu n'en trouves pas, tu t'en inventes. Tu ne cherches pas l'origine véritable de tes troubles, tu leurs trouves des raisons d'être là !
La cause vient parfois du temps, trop froid, trop chaud, trop humide, trop sec ! C'est peut-être un manque de sommeil, Cela peut venir également de ton activité professionnelle ou personnelle. De ton voisinage, de ta nourriture, de l'air, de la pollution ? Mais en fin de compte, la raison de ces malaises vient toujours de l'extérieur, jamais de toi.
Tu aimes te plaindre, et tu adores être plaint. Tu mets en accord la neige, le vent et la glace, en relation avec le froid. Tes yeux regardent et tu établis un diagnostique. En voyant le vent, la neige ou bien la glace, tu te dis : "il doit faire froid dehors !" Et déjà tu frissonnes. Par rapport à cette instruction, à ce vécu, tu adaptes les réactions de ton corps à celle de ton savoir et tu as froid.
Il en est de même pour la chaleur, l'humidité, la sécheresse ! Tu réagis en fonction de tes yeux, non d'après ton corps. Retires ce point de repère et tu te sentiras nettement mieux. Retires le malaise qui est en toi, et annule-le. N'attends pas l'aide d'autres personnes, vois le docteur pour l'absolue nécessité et non pour le superflu. Vise toujours plus haut dans la connaissance de toi-même. Cherche le désir, le plaisir, la joie de sentir ton être, sois passionné de toi ! Ne cherches pas le contour, cherche plutôt ce qu'il y a à l'intérieur. Le contour, n'est que la façade de toi-même, alors que ton énergie en est le cœur. Le corps sert à déplacer et à porter ce qui est vraiment toi ; ton âme et ton entité.
Regarde par exemple. Tu es avec un ami, tu regardes une femme et tu lui dis : "qu'elle est belle !" Au contraire de ton affirmation, ton ami ajoute : "Moi, je ne là trouve pas aussi belle que ça !"
Vous regardez tous les deux la même personne, et là trouvez différente.
Pourquoi ?
Vous avez pourtant chacun deux yeux regardant la même personne, vous ne là connaissez pas, vous ne l'avez jamais entendu ! C'est donc que vous seriez capable de juger une personne sans là connaître ! Cela veut dire, que tu peux établir une critique positive ou négative à la simple vue d'un objet ou d'un être, Chaque humain à donc une vision différente des choses qui l'entourent ? Tu te fies donc à ce que tu vois ! Non à ce que tu sens ! Et tout ceci, en accord à ton vécu !
Pourquoi les non symétries d'un visage ou d'un corps engendrent-t-elles la curiosité, l'intolérance, voire même la répulsion et le refus ? Faut-il qu'un être ait des formes harmonieuses pour que celui-ci soit accepté par la société !
Pourquoi te permets-tu de juger ?
De quel droit le fais-tu ! Pourquoi la laideur invoque souvent le mal et la beauté le bien ! L'intérieur du corps, n'est-il pas semblable pour tous, Tous ce que tu peux trouver de beau ou de laid, est déterminé d'après ton vécu, ton savoir et ton éducation. En fait et surtout, d'après ce que l'on exige de toi, sans que tu le saches.
Tu sais maintenant que tu organises ton jugement et tes réactions en fonction de celle de ton voisinage. Alors fais quelque chose ! Ne laisse pas la société t'étouffer et diriger tes faits, tes gestes et tes pensées !
Je suis là, tu es là, nous sommes l'un à côté de l'autre et tu ne me vois pas.
Pourquoi ?
Je te parle et tu ne m'entends pas.
Pourquoi ?
Est-ce parce que je te parle avec mon cœur et que tu ne vois que mes lèvres !
Pour moi la vie sur terre, d'une certaine façon est bien triste, lorsque je regarde te complaire à te détruire et à tout détruire. Je suis là à te regarder et je suis malheureux. Je ne sais plus quoi faire pour toi. Dois-je me battre, dois-je renoncer ? Qui me donnera la réponse si ce n'est moi-même !
Je te tends la main et tu la refuses.
Pourquoi ?
Pourquoi t'acharnes-tu à tâcher le cœur qui est le mien ? La vie pour toi est aussi sombre pour que tu veuilles m'attirer dans ton obscurité ?
J'entends tout autour de moi, qu'il faut se battre pour réussir. Se battre pour qui et contre qui ! Se battre pour quoi ou contre quoi ! Une place dans la société ! Une place dans ton foyer ! Ou la connaissance parfaite de toi-même. Je pense que la dernière solution pour toi n'est pas valable, étant donné que la réussite ne se situe à tes yeux, que dans le matériel.
Désormais, ferme les yeux et laisse toi guider par ton esprit et ton cœur, pour choisir ce qui est bon en toi. Tu sais maintenant que tu n'as besoin que de toi pour trouver ce qui est bon et juste. La galerie t'a guidé et la lumière t'a éclairé sur ta vie. Ne laisse plus la société prendre le pas sur toi, ne te laisse plus enfoncer, et montre à la société que la vérité et la pureté existent bien en toi.
Malheureusement, ces deux mots sont bien souvent oubliés et pourtant, sont l'essence même de la vie.
N'oublie pas que la laideur n'évoque pas le mal, que la beauté n'inspire pas le bien, car à l'intérieur du corps, le cœur, le cerveau, les poumons tout ce qui est matière et non énergie, sont semblables pour tous. Que tu sois blanc, noir rouge, jaune, que tu sois occidental, maghrébin, africain asiatique ou toutes autres races, tu es fait de chair et de sang. Il n'y a que les cultures et les religions qui changent.
La religion est également un sujet fort intéressant, que j'aimerais développer avec toi. Bien qu'en généralité, celui-ci soit proscrit et intouchable.
De tout temps, la religion a été le plus grand fléau sur terre. Combien de personnes sont mortes suite à celle-ci ? Des centaines ! Des milliers ! Combien d'êtres humains sont mis à l'écart ? Impossible de répondre. Toi-même, tu en connais certainement !
Regarde par exemple, toutes ces marionnettes qui sortent d'une église catholique, adventiste, Jéhovah ou tout autres ! Tous ces gens sans personnalité, qui quittent le temple avec de belles idées (lorsqu'ils en ont), et qui peu de temps après, en ont déjà oublié les trois quarts, quand ce n'est pas la totalité.
Ton entité est presque annihilée par les belles paroles que te prodigue le marchand de pantin. Alors que lui-même ne fait pas toujours ce qu'il prêche ! Le faiseur de pantin dit : "N'attachez aucune importance à tout ce qui est matériel, mais ayez soif de spirituel". Mais lui, que fait-il après la messe ? Il ferme la porte de son église à double tour, de peur qu'on ne lui vole des cierges, l'argent du tronc ou bien les richesses contenues dans ce temple.
Crois-tu qu'il fasse foi de ces paroles en agissant ainsi ?
Il dit également : "Venez prier dans l'église, dans la maison de Dieu, là où il peut vous entendre, là où est sa demeure." Mais la prière, est un acte spontanée ! Comment veux-tu exécuter un acte spontané, si les portes sont fermées ? Faut-il prendre rendez-vous !
Il dit aussi : "N'amassez aucune richesse sur ce monde, car le ciel appartient aux humbles." L'église a fait partie des plus grandes richesses au monde ! Essaye de baptiser, de marier ou d'enterrer un de tes proches sans glisser une enveloppe rondelette au prêtre !
Donner de l'argent à l'église n'est pas obligatoire, mais c'est fortement conseillé si tu veux avoir une belle messe. Et toi, dans cette église, tu regardes ta montre et tu te dis qu'il n'y en a plus pour très longtemps. Tu chantes des cantiques, sans connaître la signification exacte de leurs paroles. Tu te lèves et t'assoies lorsque le prêtre t'en donne l'ordre, après tout, tu n'es pas obligé, mais il faut bien faire comme tout le monde ! Tu ne sais pas toujours pourquoi, mais tu t'exécutes. Tu critiques les hommes politiques ; Président, ministre, maire, le prêtre, également bien d'autres personnes qui au lieu de parler avec leur cœur de choses simples, préparent un discours. Soit pour ne rien oublier, soit pour être sur de ne pas dire de bêtises.
Et toi ! Comprends-tu la signification des prières et chants que tu dis et que tu chantes !
En fait, tu fais comme toutes ces personnes que tu juges, Tu pries et chantes avec ta bouche et non avec ton cœur. Car s'il en était autrement, tu n'aurais aucun besoin de support.
Pourquoi crois-tu en ton Dieu ?
Par superstition ? Pour faire comme tes parents ou les parents de tes parents ! Qui est Dieu pour toi et qu'attends-tu de lui ?
Attends-tu un acte de sa part ! Mais lui, n'attend-il rien de toi ? Crois-tu que celui-ci sera content, lorsqu'il verra deux illuminés marcher dans la rue, avec un livre bien serré dans leurs mains ! Ce livre que l'on appelle "bible", frappant de portes en portes, pour porter leur "bonne parole" et qui ne savent répondre aux questions qu'en ouvrant ce livre ! Ces marionnettes ont la personnalité des auteurs du livre, ils ne savent pas discerner, ils savent lire, c'est tout.
Pourtant, leurs moralités et leurs pensées cachées ne sont pas meilleures que les tiennes !
D'après les Ecritures, Jésus était heureux de pouvoir nous aider. Il nous aimait et nous, nous avions plaisir à l'écouter et à le regarder. Tout cet amour, est normalement synonyme de joie ! Qui dit joie, dit sourire ! Essaye de trouver un seul sourire sur les tableaux ou statues qui garnissent une église !
Regardes la religion islamique, tous ces gens qui prient à genoux, face contre terre. Tous dirigés vers la même direction ! Il nous arrive même de les voir prier en habit de militaire et fusil à l'épaule. Ils ne mangent pas de porc, ne boivent pas de vin et exécutent le ramadan.
Pourquoi font-ils cela, par tradition ?
Pas du tout ! Ils le font par tradition, par superstition, car leur Dieu, tout comme le nôtre et qui d'ailleurs est le même pour tous, n'a jamais permis le vol, le meurtre, le viol ou la guerre ! Si ceux-ci poussaient la croyance jusqu'au bout du Coran ou de la bible ou de toutes autres religions, quelle qu'elle soit, il n'y aurait plus de mensonge, plus de convoitise, plus de jalousie plus d'avidité. Ils ne le permettraient pas.
Mais tout comme toi, ils puisent ce qui les arrangent et oublient l'essentiel, le respect de l'être.
Tous ces gens sont bien vulnérables et très dangereux à la fois. Car ils se cachent derrière une façade et déposent un masque épais sur leurs visages. Ce masque qui porte trop souvent le nom de fanatisme. Car bien des personnes sont prêtes à mourir pour celui-ci.
Et toi où es-tu dans cette mélasse ?
Si tu fais des actes religieux parce qu'il le faut, pour avoir une vie meilleure dans l'au-delà, pour avoir une place dans le paradis ! Si tu fais des actes avec tes mains et que ton cœur est ailleurs. Alors arrête-toi ! Car là commence l'hypocrisie. Si tu crois en une religion, crois-y de tout ton cœur, de toute ton âme, sans retenue, sans livre pour te guider, sans rein attendre en retour. Laisse-toi guider par tout ton être et donne pas pour avoir, donne pour donner.
Tu peux me dire également, que Dieu, sous quelques formes que ce soit, n'existe pas. Car il ne laisserait pas mourir des bébés, des enfants et des adultes ! Cela pourrait être vrai. Si Dieu n'existait pas, car il ne devrait pas laisser le monde se déchirer !
Mais ne dit-on pas que Dieu a fait l'homme libre ?
Ne crois-tu pas qu'il est aisé de rejeter la faute des humains sur un Etre qui ne peut te répondre ?
Puisse que celui-ci ne peut te répondre, je vais le faire à sa place. Non pas que je me prenne pour Dieu ! Loin de moi cette pensée, mais qui pourrait le faire, si ce n'est une personne qui a fait le grand voyage !
Dieu n'a aucune part de responsabilité dans toutes ces cruautés, toi seul en es la cause. Tu es libre de faire le bien comme le mal. C'est toi qui choisis, Lui n'est là qu'en observateur de tes gestes.
Il ne te guide pas si tu ne veux pas être guidé. Il ne t'aide pas si tu ne veux pas être aidé. Quant aux personnes qui meurent, qu'elles soient bébés, enfants, adolescentes ou adultes, il ne faut pas L'incriminer, car si tu savais ce qui se trouve après la vie sur terre, alors tu Le remercierais. Et si tu ne le faisais pas, c'est par pur égoïsme, car tu ne penserais qu'à toi et non à l'être perdu.
Je vais essayer de te donner une nouvelle version des textes de la bible. Tu verras que sans la prendre à la lettre, beaucoup de passages sont fort intéressants.
Tu as appris qu'il a été dit ; Œil pour œil et dents pour dents ! Et bien moi, je te dis de ne pas résister à la personne qui te veulent du mal ou profiter de toi. Si une personne veut te frapper, ne lui résiste pas, souris lui, car en voyant le bonheur qui est en toi, sa main s'arrêtera et le calme reviendra en elle.
Si quelqu'un veut plaider contre toi et prendre ce que tu portes ! Invite le chez toi, dresse lui la table et invite le à repartir avec ton mobilier. Car je te le dis en vérité, la richesse ne fera que l'appauvrir, car elle aura perdu l'essentiel, elle-même.
Si quelqu'un te force à faire un kilomètre, fais en deux avec lui, et s'il te force à te rendre à un endroit, propose lui de le raccompagner.
Donne à celui qui te demande et ne te détourne pas de celui qui veut profiter de toi, car je te le dis en vérité, c'est par lui que tu vivras.
La société, t'a appris à aimer ton prochain et à haïr ton ennemi. Moi je te le dis en vérité, aime ton ennemi, bénis celui qui te maudit, fais du bien à celui qui te haie et redonne du bonheur à celui qui te maltraite et te persécute.
Quel mérite aurais-tu à tes yeux, à aimer celui qui t'aime, à haïr celui qui te haie, à maudire celui qui te maudit, à maltraiter celui qui te maltraite et à persécuter celui qui te persécute ! En vérité je te le dis, ne t'éloigne pas du mal, mais montre-lui ta lumière et peut-être, chassera-t-il les ténèbres pour te rejoindre dans la lumière.
Ne vis pas en ermite afin de te cacher du mal, mais rejoins plutôt la foule, afin que quiconque te voit, sens le bonheur et le bien-être le pénétrer. Parce que c'est par elle que tu puiseras ta force. N'oublie pas qu'il est aisé de fermer les yeux afin de ne point succomber.
Lorsque tu pries, entre dans ta chambre ou tout autre endroit intime. Tu n'as pas besoin de sanctuaire, car Dieu voit et entend dans le secret et n'a pas besoin d'apparat.
N'amasse aucun trésor sur terre, tu n'as besoin d'aucune richesse pour prouver qui tu es. Car je te le dis en vérité, plus la richesse sera grande sur terre, plus ton cœur sera pauvre. L'avidité et le profit, remplaceront l'amour de tes prochains.
Ton entité est la lampe de ton corps. Si ton entité est juste, sans façade ni masque, tout ton corps sera éclairé de pureté. Mais si ton entité est cachée par un masque épais, c'est tout ton corps qui sera dans les ténèbres et comment veux-tu trouver la lumière de ton être, si tout est sombre en toi !
Ne t'inquiète pas pour ta vie, de ce que tu boiras ou mangeras, ni de ton corps de ce qu'il est vêtu. Car je te le dis en vérité, la vie est bien plus que la nourriture et ton corps en est le plus beau vêtement. Nourris toi et habille-toi avec simplicité, afin que quiconque te regarde ne voit pas la luxure. Ne t'inquiète donc pas du lendemain, car le lendemain aura soin de lui-même. A chaque jour suffit sa peine. Ne juge pas afin de ne pas être jugé, car on te jugera du jugement que tu juges et on mesurera ta valeur avec la mesure dont tu mesures.
Pourquoi t'obstines-tu à voir la paille dans l'œil de ton voisin, alors que tu ne t'aperçois même pas de la poutre qui est dans le tien !
Ou comment peux-tu dire à ton ami : laisse moi ôter la paille de ton œil, toi qui as une poutre dans le tien !
C'est à dire ; pourquoi te permets-tu de critiquer ton ami, alors que toi-même es loin d'être parfait ?
Est-ce l'hypocrisie qui te permet de juger ?
Ôte premièrement la poutre de ton œil et alors, tu verras comment ôter la paille de l'œil de ton ami. Ne porte pas de faux jugements et de fausses critiques de ton ami, car tu seras jugé et critiqué par le même œil. N'ais aucune crainte à te dévoiler au grand jour. Demande et l'on te donnera, cherche et tu trouveras, frappe et l'on t'ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve et l'on ouvre à celui qui frappe.
Donnerais-tu une pierre à ton fils s'il te demande du pain ? Ou s'il te demande le logis, fermeras-tu la porte à son visage ?
Alors pourquoi fais-tu cela pour ton fils et ne le ferais-tu pas pour un passant ! Tout ce que tu veux ou aimerais que l'on te fasse, fais le pour les autres, et ils te le rendront au centuple.
Entre par la porte étroite, car large est la porte, spacieux est le chemin qui mène à la perdition. Et beaucoup sont comme toi à prendre ce chemin.
Mais par contre, étroite est la porte, resserré est le chemin qui mène à la vie. Ne cherche pas la facilité et l'oisiveté, ils te mèneront à ta perdition. Cherche le petit chemin qui te conduira à la connaissance de toi, de ton entité et à l'amour de tes proches et alors seulement, tu trouveras la vie.
Ne sois pas comme ces humains qui entendent de leurs oreilles et ne comprennent pas, qui regardent avec leurs yeux et ne voient pas, parce que leur cœur est devenu insensible. Ils ont bouché leurs oreilles et ils ont fermé les yeux, de peur qu'ils ne voient de leurs yeux et n'entendent de leurs oreilles, qu'ils ne comprennent de leur cœur et qu'ils ne se convertissent afin que je les guérisse.
Mais toi, si tu comprends et applique mes paroles, en toute liberté, et de tout ton cœur, alors heureux seront tes yeux parce qu'ils verront, heureux seront tes oreilles parce qu'elles entendront.
Beaucoup d'humains ont désiré voir ce que tu vois et ne l'ont pas vu. Entendre ce que tu entends et ne l'on pas entendu. Car ils n'arrivent plus à percer la couche épaisse que sont leurs masques et ne savent plus la signification des sept commandements.
Tu vis dans un monde où la facilité est grande. Où le mal s'installe, pour ne laisser que la violence et la corruption. Et tu entends autour de toi : " lui, le fait alors pourquoi pas moi ! " En vérité, je trouve qu'il est bien triste de te voir conformer à un être, afin de te donner l'excuse de ta facilité. Il est bien triste également de voir que l'être humain ne sait tirer aucune leçon de ces erreurs !
Tu te caches toujours dans l'ombre de toi-même et tu dis que c'est ton voisin qui te fait ombrage. Pourquoi n'essaye-tu pas de te regarder dans le miroir de la vérité et d'accepter enfin, que l'ombre peut venir de toi ! Tu n'es pas un animal, agissant par instinct et pulsion ! Tu es un être humain, qui logiquement devrait agir avec intelligence et bon sens !
Annule tout ce qui est néfaste pour ton entité, et laisse la lumière et l'amour sortir de ton corps afin que quiconque te regarde, cherche également l'amour et la lumière qui sont en lui.
Regarde toi, toi qui juges tes semblables ! De quel droit le fais-tu ? De quel droit te permets-tu de dire que celui-ci ou celui-là mérite d'être puni !
Crois-tu être mieux que le voleur ou l'assassin ?
L'assassin, lui, peut très bien enlever la vie par peur, par folie, par désespoir ! Alors que toi, tu ne sais rien de son passé, tu ne connais rien de son présent, et tu te permets de le juger !
Regarde le cercle de la loi et de la justice, tout tourne autour d'un seul être : l'accusé.
Il y a l'avocat de la défense, qui va chercher une cause rationnelle ou sentimentale, afin de clamer l'innocence de son client. Bien sûr, qui dit client, dit argent, dit prestige ! Enfin de compte, cette personne fait son métier.
Son contraire, est le procureur. Il va chercher tout ce qui est négatif, au besoin est, en inventer, pour que l'accusé devienne un être monstrueux aux yeux de l'opinion public.
L'opinion publique, est le jury. C'est toi, c'est moi, pris au "hasard" (si tu as bien sûr une carte d'électeur !) Pour être porte-parole du peuple. Ces personnes vont devoir juger un être humain par rapport à ce que les avocats et le procureur diront. Te rends-tu compte de l'atrocité de leur mission ! C'est à eux de décider si la vie lui sera ôtée ou épargnée.
Ne sont-ils pas pires que l'accusé ?
L'accusé lui, a accompli son méfait dans un acte spontané ! Alors que le jury, lui, va décider, voir même délibérer s'il doit vivre ou mourir !
Franchement, as-tu le droit de décider de la vie ou de la mort, sans avoir vécu avec cette personne depuis sa plus tendre enfance ! Et même si tu étais avec lui, étais-tu dans sa tête pour comprendre son geste ? Cet être sera jugé par rapport à des lois ! Par rapport à la société ! Par rapport à la moralité et au vécu de chaque membre du jury ! Et surtout, par rapport au fait et au message qu'auront fait passer l'avocat de la défense, le procureur et les témoins.
Mais n'oublie surtout pas que ton jugement sera basé sur ce que tu entends et sur ce que tu vois. En vérité, tu n'es que l'instrument de la justice et des médiats. Ils te feront dire et penser tout ce qu'ils veulent. Car par la parole, ils ont le pouvoir de te montrer, même de te prouver qu'un être ayant commis un acte répréhensible par la loi, peut être un monstre ou un agneau.
Rappelle-toi toujours que tu n'es pas sur terre pour accuser, mais pour défendre. Je ne dis pas qu'il ne doit pas y avoir de justice, ni de loi ! Je dis que l'abus et les faux jugements doivent être bannis. Les hommes de loi, doivent prendre leurs responsabilités et non se décharger derrière un jury. Que les hommes de loi prennent leurs décisions seuls;
Si tu arrivais à respecter, à comprendre et à agir selon ce qui est écrit dans cet ouvrage, alors il n'y aurait plus besoin de juge ni de jury. Malheureusement, tu commets beaucoup trop d'erreurs et en tire rarement des leçons !
Regarde les guerres, tu dis que cela ne devrait pas exister. 90% de la planète est contre celles-ci. Et pourtant, il y en a toujours.
Une petite poignée d'hommes est là pour décider. Et toi, comme les autres, tu restes là à les regarder faire. Depuis des milliers d'années, les batailles ont fait des millions de morts.
Nous aurions pu en tirer des leçons depuis le temps ! Et bien non, nous laissons faire ces massacres pour des causes plus ou moins stupides les une que les autres. Religion, politique, conquête d'un pays, etc…
Tu dépenses des fortunes pour créer ou acheter de l'armement toujours plus sophistiqué, toujours plus meurtrier. Tu pourrais donner cet argent pour que des milliers de personnes mangent à leur faim ! Pour que des milliers de personnes aient un toit sur leur tête ! Tu pourrais donner cet argent pour la recherche contre les maladies, afin que des milliers de personnes ne meurent plus
Au lieu de cela, tu construis toujours et toujours plus de machine de morts, plus performantes les une que les autres. Tu demandes au peuple de donner de l'argent, des vivres et des médicaments aux pauvres malheureuses victimes de la bêtise et de la cruauté de certains dirigeants. Tu demandes au peuple de l'argent par l'intermédiaire d'associations tel que ; Téléthon, ligue contre le cancer, etc…Afin d'effectuer des recherches contre la maladie.
Ne crois-tu pas que tout cet argent pour lequel tu construis ces machines à tuer, pourrait être utile à ces œuvres humanitaires ?
Les chefs d'états, disent qu'ils ne veulent pas la guerre.
Alors dis moi pourquoi le budget militaire est aussi énorme ?
Au lieu de laisser des guerres se faire, laissant derrière elles des milliers d'hommes, de femmes et d'enfants mourir dans la faim et dans la misère, ne serait-il pas plus judicieux d'arrêter les protagonistes de ces violences !
Tu vas aider un pays en guerre par la guerre. Ne serait-il pas plus sage de l'aider en lui apprenant l'amour ?
/…/

Vous trouverez tout le texte sur le forum de Guy car j’ai mis ici qu’une grande partie de sa "deuxième partie", vous y trouverez la première et peut-être une suite ou pas, je ne sais….Si vous souhaitez échanger au sujet de ce texte avec Guy et ses amis, ils vous accueillera avec grand plaisir sur son forum ou il parle également de sa NDE (il est quelqu'un qui a fait le grand voyage, d'où ce texte) et – si vous lui posez la question - certainement qu’il pourra aussi vous parler des planètes qu’il visite, de ce qu’il y voit, et autres… [/b]
:brav2:

Il vous attend même :P, j’pense qu’il adooooooore échanger sur ce sujet, vous pouvez être ouvert et parler de toute expérience sans problème, on ne vous jugera pas :).
Je vous souhaite une agréable visite chez lui.

http://spiritualite.forum2discussion.com/index.htm

Bonne soirée à tout l’monde,
Avec mon Amour.
Anne-Lise.


:bleu: Anne-Lise je me suis permise de laisser ton petit commentaire :pens:


:pap3: gros bisous :pap3:[/color]
Angell
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Message par Angell »

vu la longueur des textes, vu que la lecture en vertical sur l'ordi me fatigue autant les yeux que l'esprit, j'ai donc fait travailler l'imprimante : 12 pages, mazette, de quoi occuper une soirée désoeuvrée, en tout cas, un grand merci, tu nous économises le temps de recherche de textes enrichissants pour fortifier notre âme (et on en a bien besoin :paix1: ), et c'est ça de gagné :brav2: , donc je te donne un gros poutou de remerciement
- toute ma tendresse - Patricia -
:joie1:
force et courage me viennent, car Amour m'est de grand secours :arc2:
damedecoeur
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Message par damedecoeur »

voila apres angel hic nous dira qu'elle travaille ce soir , mon oeil oui elle va lire
en ce qui me concerne pas encore mis a la lecture mais vais le faire promis merci celeste et anne lise
bisous :joie1:
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